samedi 12 avril 2008

je lis...

Face à quelques nuits d’ennui, j’ai commencé à lire plus que les blogs et les infos. Un mercredi matin, j’ai trouvé à une librairie de Gibert Josheph le roman « Tours et Détours de la Vilaine Fille » par Mario Vargas Llosa. En premier lieu, je ne voulais pas m’y attacher simplement en raison que j’eusse lu assez de romans avec une protagoniste au lieu d’un protagoniste. Cependant, je me suis trompée ! Il y avait un protagoniste sympa avec le rêve d’habiter à Paris comme un traducteur ! Quelle histoire ! Mais, il n’était pas que ça - Il est venu de Pérou et il était follement amoureux d’une femme qui reparaissait bizarrement plusieurs fois pendant sa vie. Super !

Maintenant, je suis en train de lire « Mange, Prie, Aime » par un écrivain (ou plutôt une écrivaine ? je crois que la langue française soit un peu sexiste, n’est pas ?) Américaine qui s’appelle Elizabeth Gilbert. C’est une jolie histoire d’une femme qui vient de séparer de son mari par traversant un divorce douloureux. Elle décide de changer sa vie pour le mieux, et s’installe quatre mois dans trois pays chacun. En Italie pour apprendre l'Italien, et puis en Inde et en Indonésie pour reconstituer soi-même avec la prière et la méditation.

Pour finir ma soirée, je crois qu’Indiana Jones soit sur la télé ! Fantastique !
À plus – et n’hésitez pas de corriger mon Français !

dimanche 6 avril 2008

Le Gang de Saris Roses


Récemment, j’avais souffert un peu d’exhaustion féministe. Heureusement, j’ai entendu une un info réconfortant qui vient du Nord de l’Inde. Le gang de Saris Roses est un groupe de femmes qui se sont réunis dans cette partie la plus pauvre d’Inde pour se protéger leurs droits en face de considérables violences et fragilités économiques.

Les femmes de cette région sont souvent mariées par force dès l’âge de neuf ans puis battues et violées par leurs maris. En outre, il existe des nombreux viols et des autres formes de brutalité contre les femmes aux mains des hommes des villages.

Compte tenu d’une économie faible, une fille est considérée comme une malédiction parce que son père est obligé de payer sa dot quand elle se mariera. Plusieurs femmes sont abandonnées en raison qu’il est trop cher de les soutenir, un malheur que les laisse sans protection dans une société qui les insulte et ne les regard pas comme les êtres humains.

Le gang de Saris Roses fait ce que la police ne le fera pas. Ces femmes interviennent dans les situations où les femmes sont maltraitées, violées et ignorées. Elles attaquent les violeurs et les harceleurs physiquement, aussi bien qu’elles enseignent l’une l’autre comment se défendre. Elles ordonnent à la police de les prendre sérieusement, ou bien elles exposent leur corruption, ce qui inclut leur complicité dans un système misogyne.

Bravo ! Vous êtes mes héroïnes !